Jeudi

Publié le par Taupe

en cours de français, le Fan des Guignols et moi, on a décidé de faire un truc DRÔLE. On a décidé de taper en temps réel TOUT ce que la prof disait (oui, on a notre ordi en cours). Alors c'est sûr, on loupait quelques mots (paskon est pas des pro). Et donc ça donne en gros ceci :

La première limite de notre rapport au monde c’est l’autre texte de Nicolas Grimaldi. Elle soulignait déjà le fait que personne ne le fait qu’il y a néanmoins une série. Donc la définition d’un déterminisme partiel est l’objet de la deuxième partie. Dès lors, le texte s’interrogeait ou ne pouvait pas se libérer de ses contraintes, l’art, ce que certains ont appelés le style, une façon d’échapper au monde qui nous lie à la matière que certains ont choisis, nous pouvons exprimer notre moi véritable et échapper aux contraintes. Est-ce que cette échappatoire, c’est le cas, puisque cela ne pouvait pas annuler la série des déterminismes. Que propose l’auteur sans chercher à articuler ses points ? Je vous propose le résumé que les choses ont du sens. Or, le moi est à la fois originaire mais tel que je cherche des formulations ce que voulait dire ce moi originaire, on retrouve bien l’idée d’originaire, qui est lui-même du vivant. D’une part, autrui se fait de soi, subjectivité, ce corps que nous n’avons pas choisis, dès lors, nouvelle articulation, devant cette double limite. Dans la matière librement choisie, exprimant ainsi son moi véritable, résultat toujours singulier. Point final, d’accord ? Mais vous retrouvez cela sous une forme donc qui sont les logiques et que je ne me suis pas contentée les passages d’accord.

HAHA.
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